Pourouvrir sa saison culturelle, le Printemps de Rouen donnera le ton de cette nouvelle édition autour du corps sur le principe du flashmob. Le 16 avril à 16h30, nous vous donnons rendez-vous Place du 19 avril 1944 pour une chorégraphie collective !
Unerevue inédite et originale, placée sous le signe du Music-hall et dans la pure tradition des plus célèbres Cabarets parisiens. Vous serez séduits par nos tous nouveaux tableaux, qui s'enchaînent à un rythme effréné. Chaque tableau à son style de danse, ses costumes, son émotion et vous plonge dans un univers différent du début à la fin ! Des décors inattendus, plumes, strass
Le14 mars 1909 il est à Rouen pour accompagner Marie Capoy avec Alfred Casella, Jean Wiéner rend hommage à Hewitt dans le journal Ce soir du 27 avril 1945, quelques jours après son retour d'Allemagne. Hewitt est médaillé de l'ordre de la Libération par décret du 24 avril 1946. Son fils Jean (Maurice) Hewitt (1914-1990) et l'épouse de celui-ci, née Nadine Fratkine
vendredi19 septembre 2014. Melville (Rouen - 76) Les origines de ce cinéma remontent au mois d'avril 1957, avec l'ouverture d'un établissement alors dénommé "Cinédit". La salle unique comportait 700 places. Le "Cinédit" ferme ses portes en août 1970, avant de rouvrir en octobre 1971 sous le nom de "Clubs A,B", un établissement de deux salles de 400 et 200
CLIQUEZSUR LA CARTE POUR AGRANDIR. 26 - 30 AOÛT 1944 : Traversée de la Seine par les troupes canadiennes des 3ème et 4ème Divisions d'Infanterie. Le 24 août 1944, Elbeuf est la première ville libérée de Seine-Inférieure par le Deuxième Corps d'Armée canadien, qui traverse la Seine à Saint-Aubin-lès-Elbeuf le 28.
Description Le 19 avril bombes sont larguées sur Rouen et son agglomération, faisant 900 morts et 20 000 sinistrés. La place avec en son centre une fontaine où trone une sculpture symbolisant la désolation commémore cette dramatique journée.
Surla place du 19 Avril 1944 le Citizen Caf 30 Place Des Carmes, 76000 Rouen, France. Pause Gourmande. Ouvert. 9.3. 10. Très bien. Cam’s Cake. Boutique de cupcakes. 28 Place Des Carmes, 76000 Rouen, France 09 86 22 02 62 . Pâtisseries. Ouvert. Rouen bouge. À propos de nous ; Jobs; Deviens chroniqueur 🚀; Ajouter mon établissement; Soutien. Entrer en contact; Centre d’aide
XCaQj. La cathédrale de Rouen fait partie des grandes cathédrales de France avec celles d'Amiens, Paris, Chartres, Reims et Bourges. Mais celle de Rouen a failli ne pas survivre à la dernière guerre mondiale. Comme tout grand ensemble architectural presque millénaire, elle possède deux ou trois points d'attraction qui méritent vraiment de la connaître. L'histoire commence dès le IVe siècle avec la construction d'un groupe cathédral au centre de la cité c'est une affirmation politique de l'importance de la nouvelle religion d'ordinaire les grands édifices chrétiens étaient bâtis sur les tombes des martyrs, toujours enterrés à l'extérieur des villes. À ce groupe cathédral paléochrétien succède une cathédrale romane. Sa construction commence dans les années 1020. L'édifice est consacré en 1063, en présence du duc Guillaume, le futur Conquérant. Sans doute inspiré par le gothique naissant de la cathédrale Saint-Denis, l'archevêque Hugues d'Amiens, vers le milieu du XIIe siècle, commence la modification de son église métropolitaine la tour Saint-Romain s'élève à partir de 1145. Et L'archevêque Gautier le Magnifique fait abattre la nef romane en 1185. Les premières travées gothiques peuvent enfin s'élever. En 1200, un gigantesque incendie, qui détruit le quartier et une bonne partie de l'édifice roman, en accélère la transformation. De plus, le roi Jean sans Terre offre une grosse somme pour la reconstruction. En 1204, achevant la conquête de la Normandie, Philippe Auguste peut assister à un Te Deum dans la nef quasiment achevée. Dans la décennie 1240, l'essentiel est construit la nef avec une élévation sur quatre niveaux ; le chœur avec une élévation à trois niveaux. Suivront les chapelles latérales à partir de 1270, la chapelle d'axe au début du XIVe siècle, la façade occidentale, le cloître des chanoines, les portails du transept Libraires et Calende. Après la guerre de Cent Ans, le gothique flamboyant subit un coup de fouet ultime étage de la tour Saint-Romain et construction de la tour de Beurre. En 1562, la cathédrale subit le sac des huguenots, dommageable pour le mobilier, mais sans suite pour le gros œuvre. Si la Révolution l'épargne, la seconde guerre mondiale, en revanche, va faire des ravages voir l'encadré. Dans ce site, la cathédrale Notre-Dame de Rouen est présentée sur quatre pages. L'accent est mis sur les caractéristiques de l'édifice, celles qui justifient une visite la magnifique chapelle axiale dédiée à la Vierge, les vitraux des XIIIe, XIVe, XVe, XVIe et XXe siècles ; enfin le surprenant appareil architectural en quillage dans les collatéraux. Cette page est consacrée à l'architecture extérieure façade ouest et ses tours, transept et tour-lanterne. Vue d'ensemble de la nef de la cathédrale de Rouen Le visiteur peut voir, dès l'entrée, que l'élévation de la nef est à quatre niveaux. C'est la marque architecturale des cathédrales de l'époque du gothique classique fin du XIIe siècle. Le chœur ne possède que trois niveaux. La façade occidentale, en gothique flamboyant, de la cathédrale se distingue par la présence de deux contreforts encadrant le portail central et de quatre flèches pyramidales qui la surplombent. Le chevet de la cathédrale et la tour-lanterne qui culmine à 151 mètres plus haute flèche de cathédrale de France. La Vierge dorée de Nicolas Quesnel, 1541 domine le faîtage en plomb de la chapelle de la Vierge. - À GAUCHE Le côté sud du chœur est obstrué par des locaux utilisés par le chapitre de la cathédrale sacristie des chanoines, revestiaire et chartrier. Maquette de la cathédrale, visible dans une chapelle latérale. Longueur totale 137 mètres Hauteur de la flèche reconstruite au XIXe siècle 151 mètres. Les trois portails de la façade occidentale. Partie centrale de la façade occidentale au-dessus des portails. À droite, l'élancement de la tour de Beurre. La partie centrale mêle le foisonnement du gothique flamboyant, notamment dans les gables, et ce qui est plus traditionnel, dans les rangées de statues. Rangée de statues sur la façade. Un clocheton au sommet de la façade Il faut y voir une influence anglaise. La façade occidentale de la cathédrale de Rouen n'a pas l'harmonie de celle de Paris ou de Reims. Construite du XIIe au XVIe siècle, elle se distingue par une irrégularité générale, issue des changements de plans, des arrêts, des restaurations et des additions diverses. Un point la différencie des façades des autres cathédrales les tours nord et sud ne font pas bloc avec l'ensemble voir plus bas. Ce fut vers les années 1180-1190 que l'on commença la construction des trois portails. Interrompue par l'incendie de l'an 1200, elle reprit avec force décorations, colonnettes et statues. Les tympans des portails nord et sud, qui illustrent l'histoire de saint Jean-Baptiste et celle de la lapidation de saint Étienne, sont du troisième quart du XIIIe siècle. Quant au portail central, il fut détruit au tout début du XVIe siècle. Pour des raisons de robustesse de la façade, on décida de bâtir deux puissants contreforts dans le prolongement des grandes arcades de la nef. Ces contreforts, de forme pyramidale, furent amplement décorés des niches y abritaient des rangées de statues surmontées de dais et de clochetons, le tout ciselé dans l'art du gothique finissant. La récente restauration terminée en 2015 met bien en évidence toute cette luxuriance, bien que la rangée basse des statues ait disparu. L'Arbre de Jessé de Pierre des Aubeaux, orne le tympan, lui-même entouré d'une riche archivolte consacrée aux prophètes, aux sibylles et aux patriarches. Toutes les parties hautes de la façade, telles qu'on les voit dans la photo ci-dessus, datent de la fin du XIVe siècle et du début du XVe. Exception faite pour le gâble, très élancé, qui domine le portail principal et qui a le malheur de cacher en partie la rose flamboyante il date de 1514. Notons enfin l'un des signes distinctifs de la façade de la cathédrale de Rouen ce sont les quatre clochetons très ajourés, en forme de pyramide, qui surplombent la partie centrale. On a pu montrer l'influence anglaise des grandes cathédrales de Wells, Lichfield et Salisbury dans leur dessin. Ces clochetons furent conçus, au XIVe siècle, par le maître d'œuvre Jean Périer qui connaissait l'art anglais. Source Congrès archéologique de France, 89e session tenue à Rouen en 1926, article La cathédrale de Rouen par Marcel Aubert. LE CENTRE DE LA FAÇADE OCCIDENTALE LE PORTAIL SAINT-ROMAIN ET L'ARBRE DE JESSÉ Le tympan avec son Arbre de Jessé et l'archivolte du portail central de la cathédrale de Rouen. À gauche et à droite les contreforts de la façade ornés de statues posant sous leur dais. Photographie prise après la restauration de la façade qui s'est terminée en juin 2015. Scènes bibliques et personnages dans les ébrasements du portail central. LE NORD DE LA FAÇADE OCCIDENTALE LE PORTAIL SAINT-JEAN Le portail nord de la façade occidentale, dédié à saint Jean-Baptiste. Le portail Saint-Jean est remarquable par les voussures de son archivolte. On quitte ici les séries habituelles de statues de rois ou de prophètes pour faire place à la dentelle de pierre - au sens propre. Les quatre voussures de l'archivolte sont ornées, alternativement, de dessins géométriques percés à l'archet suivant l'habitude normande et de feuilles découpées et refouillées, bien détachées de leur fond. La dentelle de pierre brille ici d'un éclat extraordinaire. De plus, la base des deux voussures à feuilles, au nord, est enrichie de bustes d'un style très séduisant. Le tympan troisième quart du XIIIe siècle illustre des scènes de la vie de saint Jean-Baptiste banquet d'Hérode, danse de Salomé, décollation et offrande du chef de saint Jean de Salomé à Hérodiade. Le registre supérieur illustre l'ensevelissement de saint Jean-Baptiste. Sources 1 Congrès archéologique de France, 89e session tenue à Rouen en 1926, article La cathédrale de Rouen par Marcel Aubert ; 2 Haute-Normandie gothique par Yves Bottineau-Fuchs, éditions Picard. Le tympan entre 1250 et 1275 et les magnifiques voussures du portail Saint-Jean. Les bustes à la base des voussures nord. Portail Saint-Jean. Le bourreau qui décapite le saint a un aspect négroïde affirmé. Base des colonnettes dans l'ébrasement nord du portail Saint-Jean fin du XIIe - début du XIIIe siècle. Ébrasement sud du portail Saint-Jean fin du XIIe - début du XIIIe siècle. LE PORTAIL OCCIDENTAL NORD SAINT-ÉTIENNE Le portail Saint-Étienne porte sud de la façade principale est d'allure plus classique, avec un thème floral dans les voussures de l'archivolte. Le tympan illustre la lapidation de saint Étienne troisième quart du XIIIe siècle. La décoration de cette porte a été très mutilée au XVIIe ou au XVIIIe siècle. Le portail des Libraires, sur la façade du transept nord, a été construit à peu près dans le même temps que celui du transept sud fin du XIIIe, début du XIVe siècle. Le décor a été conçu par Jean Davy. Sur la photo de droite, on voit une construction architecturale belle et équilibrée, faite de gâbles et de rosaces, qui est en fait inspirée du transept de la cathédrale Notre-Dame de Paris voir plus bas. Le portail est entouré de bâtiments il s'agit de la bibliothèque des chanoines construite par Guillaume Pontifs à partir de 1477. Elle sera reliée à la cathédrale, dès 1479, par le bel escalier, bâti par le même architecte, et que l'on voit dans le transept nord de l'édifice. La cour abrita d'abord des changeurs, puis des libraires. Les chanoines percevaient ainsi des droits sur les emplacements qu'ils louaient. Ils finirent par y édifier des petites maisons de rapport. Source La cathédrale Notre-Dame de Rouen, éditions du Patrimoine. Le portail sud de la façade occidentale est dédié à saint Étienne. LE PORTAIL DES LIBRAIRES TRANSEPT NORD Le très élégant portail des Libraires et la cour des Libraires. -À GAUCHE La Lapidation de saint Étienne dans le tympan du portail sud de la façade occidentale. Le registre supérieur représente un Christ en majesté dans une mandorle. Le bas du tympan du portail des Libraires fin du XIIIe, début du XIVe siècle. Le registre du bas illustre la résurrection des morts qui sortent de leurs tombeaux par milliers. Au-dessus, les justes sont séparés des damnés. Un chaudron infernal est sculpté sur la droite. La partie supérieure, qui n'a jamais été sculptée, aurait dû représenter un Christ en majesté. LE PORTAIL DE LA CALENDE TRANSEPT SUD Le portail de la Calende et le transept sud. Statue d'un apôtre dans un contrefort du portail de la Calende. Le portail de la Calende obéit au même principe architectural que celui des Libraires une porte avec tympan et archivolte surmontée d'un gâble ajouré, assez pentu ; derrière le gâble se tient une grande fenêtre à claire-voie portant une rose, surmontée elle aussi d'un gâble. C'est le profil créé à la cathédrale de Paris. On notera toutefois une différence entre les deux portails des transepts dans le portail de la Calende, le dessus de la grande rose est orné d'un groupe sculpté représentant le Couronnement de la Vierge. Cette œuvre, donnée ci-dessous à gauche, est très élimée. Sur le trumeau se tient le Christ qui est accompagné, dans les ébrasements et les contreforts de droite et de gauche, des apôtres et des premiers diacres. Les voussures sont peuplées d'anges, de prophètes et de martyrs. Le magnifique tympan, intact, mais très usé par les ans, illustre le Mystère pascal. Le registre médian comprend les scènes de la Passion baiser de Judas, Christ aux outrages, retrait des vêtements et Mise au tombeau. Celui du bas accueille une Résurrection et une Ascension. Enfin, le registre supérieur couronne le tout avec une Crucifixion très riche en personnages. Source La cathédrale Notre-Dame de Rouen, éditions du Patrimoine. Le tympan du portail de la Calende. En haut, la Crucifixion. Au milieu des scènes de la Passion. En bas, Résurrection et Ascension. La cathédrale dans la seconde guerre mondiale. En 1938, dès la crise de Munich, un plan global de protection fut mis au point. Les échafaudages garnis de sacs de sables s'élevèrent à l'extérieur et dans la chapelle de la Vierge. Les vitraux anciens c'est-à-dire à l'exclusion de ceux du XIXe siècle furent mis en caisse et expédiés au donjon de Niort. Les Allemands entrent dans la ville le 9 juin 1940. Un bref combat de chars entraîne un incendie entre la cathédrale et les quais de la Seine. Le feu gagne l'échafaudage de bois installé autour de la tour de Beurre et se propage aux combles du collatéral sud. Charpentes et toitures sont détruites. Il faut réparer et restaurer. L'entreprise Lanfry, chargée de la tâche, achève l'ouvrage à la fin de 1941. En avril 1944, en préparation du débarquement de Normandie, la RAF veut détruire le nœud ferroviaire et la gare de triage près de Sotteville-les-Rouen. Comme à Nevers au mois de juin suivant ce qui sera fatal à la cathédrale Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte, l'aviation anglaise va largement déborder de son objectif et bombarder des zones situées à plusieurs kilomètres de sa cible. Dans la nuit du 18 au 19 avril, le cœur historique de Rouen est gravement touché lors d'un raid des bombardiers alliés. Cinq bombes et torpilles frappent presque à mort la cathédrale. C'est d'abord le collatéral sud qui reçoit deux engins explosifs toutes les chapelles latérales sud sont détruites à l'exception de la chapelle Sainte-Catherine. Ses arcs-boutants ont résisté et, par chance, ils vont réussir à contenir la poussée des voûtes de la nef et empêcher la chute du mur gouttereau dont les piliers ont pourtant été fragilisés par les explosions. Plus grave encore, une torpille vient frapper la pile sud-est de la croisée du transept. Ce qui endommage la pile voisine et projette des milliers d'éclats alentour. L'effet de souffle pulvérise la rose nord du transept et déforme la rose sud. Une autre torpille vient frapper le déambulatoire et détruit une partie des stalles. Spectacle de désolation des morceaux de piliers et de murs jonchent le sol par milliers, le mobilier est détruit, la vitrerie réduite en miettes, les murs sont troués, les remplages soufflés. Les tours de la façade ne sont pas atteintes. Pour l'instant... Il y a pis la structure elle-même du bâtiment est menacée car la pile sud-est de la croisée, atteinte de plein fouet par une torpille, peut s'effondrer sous les huit mille tonnes de la tour-lanterne et de sa flèche. Il faut étayer sous la croisée de toute urgence. Jean-Pierre Chaline [cf source] nous apprend que, faute de madriers disponibles, les ouvriers de l'entreprise Lanfry s'en vont en pleine nuit ! dans la forêt du Rouvray abattre les arbres nécessaires. Des cintres en bois, renforcés d'une maçonnerie de briques, soutiennent enfin les piles endommagées de la croisée. Sur le côté sud de la nef, le collatéral a été détruit. On implante des tirants métalliques dans les élévations pour soulager la pression de la voûte sur les arcs-boutants de la chapelle Sainte-Catherine, seule chapelle sud à être encore debout. -»» 2/2 L'archange Saint Michel pèse les âmes dans le gâble au-dessus de l'archivolte du portail. 2/2 -»» Puis vient la semaine rouge». Du 30 mai au 5 juin 1944, une série de bombardements frappe Rouen et sa périphérie. Le soir du 1er juin, c'est le feu qui embrase la ville. La tour Saint-Romain est atteinte dans ses parties hautes. Charpente et toiture s'effondrent. Les cloches du beffroi tombent sur la voûte... qui ne cède pas. Le feu, attisé par un vent violent, gagne les combles du collatéral nord et ceux de la nef. Mais à une hauteur que les lances des pompiers ne peuvent atteindre. Alors, c'est une chaîne humaine qui les remplace avec des seaux d'eau montés jusqu'au bas de la flèche. Dans la nuit, le vent se calme, ce qui permet enfin d'éteindre l'incendie. À nouveau, en toute hâte, il faut consolider et étayer toutes les parties fragilisées. L'entreprise Lanfry est au four et au moulin, nous disent les sources. Après la guerre, c'est elle qui sera chargée des très nombreux travaux de réparation et de restauration. La cathédrale ne sera rendue au culte qu'en 1956. La restauration de certaines parties de l'édifice exigera encore plus de temps. Ainsi, le toit de la tour Saint-Romain ne sera achevé qu'en 1987. Que se serait-il passé si...? Si les secours n'avaient pas été aussi rapides, si les arcs-boutants de la chapelle Sainte-Catherine n'avaient pas été assez robustes, il est vraisemblable que toute la voûte de la nef se serait écroulée et, avec elle, le collatéral nord. La pile sud-est cédant sous le poids, la tour-lanterne se serait effondrée en détruisant le chœur et le transept. N'auraient sans doute subsisté de la cathédrale de Rouen que la façade, ses deux tours et la chapelle de la Vierge... Notons, pour terminer, que la semaine rouge» vit la destruction de quelques grands édifices publics rouennais, comme la bourse, le théâtre des Arts et l'hôtel des douanes. L'église Saint-Vincent a, elle aussi, été totalement détruite. Ses vitraux Renaissance, heureusement mis en caisse avant la guerre, ont été remontés dans la nouvelle église Sainte-Jeanne d'Arc. Ils n'y sont pas tous. L'abside de la chapelle d'axe de la cathédrale, dite chapelle de la Vierge, abrite quelques vitraux de Guillaume Barbe vers 1470 issus de Saint-Vincent. Sources 1 Rouen, Primatiale de Normandie, éditions La Nuée Bleue, collection La Grâce d'une cathédrale», article La cathédrale à l'épreuve de la Seconde Guerre mondiale» de Jean-Pierre Chaline ; 2 Rouen, La reconstruction, Itinéraire du Patrimoine. Flagellation, Passion et Mise au tombeau dans le tympan du portail de la Calende. LES TOURS DE LA FAÇADE OCCIDENTALE LA TOUR SAINT-ROMAIN NORD La tour Saint-Romain 82 mètres de haut est la partie la plus ancienne de la cathédrale. Son aspect la rapproche plus d'un beffroi que d'une tour d'un édifice religieux. À l'origine, sa partie inférieure fut conçue comme partie intégrante de l'enclos canonial. Les historiens la datent des années 1150-1160. Sa succession de baies géminées, qui s'agrandissent à mesure que l'étage s'élève, conserve un petit air roman. Enfin, la partie supérieure, que l'on distingue très facilement grâce au changement de couleurs elle n'a pas été restaurée récemment, a été élevée de 1469 à 1477 par Guillaume Pontifs qui construira juste après la bibliothèque des chanoines. Cet étage, en gothique flamboyant, est surmonté d'un toit en pavillon détruit en 1944 et reconstruit. Le dernier étage roman» accueille les cloches. Le carillon de la cathédrale de Rouen est l'un des plus importants de France. Dans la salle basse de la tour Saint-Romain se trouve le baptistère de la cathédrale. Initialement, la tour Saint-Romain ne devait être réunie à la cathédrale que par un pont de pierre, construit à plus de douze mètres au-dessus du sol. Ce pont donnait directement dans les tribunes de la nef nord. Comme les tribunes n'ont jamais été construites voir l'encadré, la porte qui reliait les deux bâtiments a été bouchée, le passage transformé en chapelle. Le vide entre les deux bâtiments a, quant à elle, été bouché dès la fin du XIIIe siècle. Sources 1 Congrès archéologique de France, 89e session tenue à Rouen en 1926, article La cathédrale de Rouen par Marcel Aubert ; 2 La cathédrale Notre-Dame de Rouen, éditions du Patrimoine. La tour Saint-Romain. Le niveau du bas en gris clair est du XIIe siècle. Le niveau supérieur, en gothique flamboyant, a été ajouté au XVe siècle. Le toit qui domine l'étage flamboyant a été détruit en juin 1944 et rebâti. La tour de Beurre et son gothique flamboyant fin du XVe siècle. Statues d'Adam et Ève sur la tour de Beurre Côté ouest. Fin du XVe siècle . La tour de Beurre 75 mètres de haut. Comme la tour nord de la cathédrale de Bourges, elle doit son nom à l'argent collecté par le chapitre auprès des paroissiens qui devaient payer s'ils ne voulaient pas manger maigre pendant le Carême. Cette tour, de style gothique flamboyant, est nettement postérieure à la tour Saint-Romain puisqu'elle a été construite par Guillaume Pontifs à partir de 1485. À l'origine, dans ce qui est maintenant le rez-de-chaussée de la tour, se trouvait la chapelle de la paroisse Saint-Étienne-la-Grande-Église en effet, la cathédrale n'était pas une paroisse, mais l'église métropolitaine de Normandie. Cette chapelle, qui semblerait remonter au Xe siècle, occupait en fait un espace plus vaste c'était le bas de la tour et les deux chapelles latérales sud attenantes, espace auquel il faut encore ajouter les deux travées du collatéral sud qui bordent ces chapelles. En 1496, un accord eut lieu entre les trésoriers de la paroisse Saint-Étienne et le chapitre de la cathédrale le rez-de-chaussée de la tour fut canoniquement déclaré paroisse. Henri Potin, supérieur des Carmes de Rouen et collaborateur de l'archevêque Georges Ier d'Amboise, vint bénir sa base architecturale afin d'en concrétiser la dédicace. À la Révolution, cette paroisse fut supprimée et la cathédrale prit le relais en une vaste paroisse, Notre-Dame-la-Grande-Église. Revenons à la construction de la tour de Beurre et suivons ce qu'en dit le Congrès archéologique de France tenu à Rouen en 1926. On savait que la chapelle Saint-Étienne reposait sur un sol de mauvaise qualité et l'on hésitait à construire une tour au-dessus. Toutefois, en 1485, Guillaume Pontifs fit des sondages et informa le chapitre que l'on pouvait élever la tour sur de simples fondations. La construction commença, mais rapidement des tassements se produisirent, qui firent pencher vers le sud l'élévation déjà construite. Pontifs dut reprendre d'aplomb la construction. C'est son successeur, Jacques Leroux, qui termina les parties hautes. Ce qui donna d'ailleurs lieu à d'âpres discussions avec le chapitre. En 1507, Leroux commença à élever une flèche, mais dut arrêter au profit d'une couronne octogonale. Sur le plan ornemental, cette tour soulève l'intérêt par la présence de grands contreforts enrichis de niches contenant de remarquables statues. Au deuxième étage, sur la face est, se trouve notamment illustrée la légende de l'ara cœli l'autel céleste une sibylle est interrogée par l'empereur Octavien pour savoir s'il doit être adoré comme un dieu et si rien n'est plus puissant que lui dans le monde. La sibylle lui montre alors une vision céleste où l'on voit la Vierge tenant un nouveau-né. Ce qui veut dire que ce nouveau-né est plus puissant que l'empereur. Et Octavien s'agenouille pour l'adorer. On retrouve, dans la pierre de la tour de Beurre, les personnages de cette légende Octavien, deux de ses officiers, son fauconnier, son connétable, la sibylle et sa servante. Les statues, groupées par deux dans leur niche, sont dominées par la Vierge et l'Enfant adossés à un remplage. La photo ci-dessous à gauche en donne une illustration globale. Sources 1 Congrès archéologique de France, 89e session tenue à Rouen en 1926, article La cathédrale de Rouen par Marcel Aubert ; 2 Rouen aux cent clochers de François Lemoine et Jacques Tanguy, éditions PTC. Les statues du deuxième étage, côté est, de la tour de Beurre. Elles illustrent la légende de l'ara cœli et de la sibylle de Tibur. Statues sur le côté ouest de la tour de Beurre. Fin du XVe siècle. LA TOUR-LANTERNE À LA CROISÉE La tour-lanterne comporte trois niveaux. Le premier, qui n'est pas visible sur les photos de cette page, remonte au XIIIe siècle c'est le niveau initial, celui par lequel les maçons ont commencé pour édifier la lanterne de la croisée. Ses ouvertures sont aveugles. L'étage au-dessus étage du bas dans la photo ci-dessous est de la même époque. Il a été consolidé par Roulland le Roux au début du XVIe siècle. Sur ces deux niveaux subsistent encore des traces de l'incendie de 1514. Le dernier étage gothique est l'œuvre de ce même Leroux au début du XVIe siècle. Dans l'étage du XIIIe siècle voir ci-dessous, on a deux arcades en tiers-point ; dans celui du XVIe, quatre arcades aux gâbles flamboyants, séparées par des piles, elles-mêmes surmontées de pinacles. Le style Renaissance est déjà présent les statues des angles sont nichées sous des dais décorés de coquilles ornementation typique de la Renaissance que l'on voit bien dans la photo ci-contre. En 1523, une première flèche en bois fut élevée sur le troisième niveau. Elle disparut dans l'incendie de 1822. À la suite de quoi, elle fut remplacée par la flèche en fonte d'Alavoine. Sources 1 Congrès archéologique de France, 89e session tenue à Rouen en 1926, article La cathédrale de Rouen par Marcel Aubert ; 2 Haute-Normandie gothique par Yves Bottineau-Fuchs aux éditions Picard. Les niveaux 2 et 3 de la tour lanterne et leurs sculptures flamboyantes. PARTIE EXTÉRIEURE -»» Page 1 TRANSEPT ET CHŒUR BAPTISTÈRE ET CHAPELLES LATÉRALES DÉAMBULATOIRE ET CHAPELLE DE LA VIERGE
Drôle d’histoire! La Normandie de Bayeux à Rouen Niveau TarifA partir de 995 euros Durée7 nuits / 8 jours Recevez des informations sur la liste des hotels, les vélos, et la description des parcours Plus d'infos Réserver Description Ce tour à vélo très populaire vous permet de découvrir la Normandie dans toute sa splendeur et d’en apprendre beaucoup sur la riche histoire de cette région. De Bayeux à Rouen, vous longerez la côte normande et visiterez certains des sites les plus importants du jour J, notamment Omaha Beach, Pegasus Bridge et Longues-sur-Mer, site de l'un des plus formidables postes de défense allemands. Vous visiterez également des cathédrales remarquables et vous vous tiendrez devant l'endroit où Jeanne d'Arc a trouvé la mort. Vous traverserez les paysages qui ont donné naissance à la peinture impressionniste et inspiré les coups de pinceaux de Monet et de Boudin. Et le soir, vous logerez dans de charmantes villes et villages, où vous pourrez déguster les meilleures spécialités culinaires de Normandie. La plupart du temps, vous aurez le choix entre deux parcours plus ou moins longs selon votre envie de pédaler. Ce tour à vélo est idéal pour les cyclistes et les passionnés d'histoire, et convient aux cyclistes de tous niveaux. Itinéraire J1Arrivée à Bayeux Prévoyez d’arriver suffisamment tôt pour découvrir cette ville historique qui abrite de nombreuses attractions dont la Tapisserie de Bayeux et la cathédrale gothique de Bayeux. En fin d’après-midi, vous rencontrerez notre représentant local qui passera le parcours du séjour en détail et vous remettra vos vélos de location si vous n’apportez pas les vôtres. J2Boucle autour de Bayeux Option via Arromanches 37 km; Total montées 295 mètres; Option via Omaha 52 km; Total montées 430 mètres Aujourd'hui, vous aurez trois options. L’itinéraire court vous emmènera sur la côte, en commençant par le village d'Arromanches-les-Bains. C'est là que les troupes alliées ont réalisé l'un des plus grands exploits d'ingénierie de la guerre, créant un port temporaire en quelques jours seulement. Des parties du port sont encore visibles à marée basse. Vous aurez également l'occasion de visiter les batteries allemandes de Longues-sur-Mer. Ces formidables structures de béton ont survécu à plus de 1 500 tonnes de bombes le jour de l'invasion alliée. Si vous choisissez l’option longue, vous suivrez la vallée de l'Aure jusqu'à Omaha Beach, la plus célèbre des cinq plages du débarquement, et le village de Colleville-sur-Mer, site du cimetière et du mémorial américain de Normandie. Notre longue option vous emmènera encore plus loin, jusqu'à la Pointe du Hoc, un lieu emblématique du débarquement. J3Bayeux — Bénouville 55 km; Total montées 395 mètres Traversez la vallée de Seulles jusqu'à la Manche, où vous atteindrez Juno Beach. C'est là que la 3e division d'infanterie canadienne a pris d'assaut la plage et a contribué à établir des positions stratégiques sur le sol normand. Le Centre Juno Beach documente ce débarquement grâce à des expositions et des films. Le port de pêche voisin de Courseulles-sur-Mer est l’arrêt idéal pour un déjeuner de fruits de mer. Plus loin, Sword Beach a vu le débarquement de la 3e division britannique. De là, vous suivrez une voie verte jusqu'à Caen ou Bénouville où vous passerez la nuit. J4Bénouville — Beuvron-en-Auge 30 km; Total montées 235 mètres Bénouville est le théâtre des tout premiers combats du Jour J. Juste après minuit, le matin du 6 juin 1944, 181 britanniques, grâce à 6 planeurs, ont atterri ici sans être détectés derrière les lignes allemandes. Dans le cadre de l'opération Deadstick, les troupes britanniques, après une brève escarmouche, s'emparèrent de Pegasus Bridge, un point stratégique sur la rivière Orne. Il vous sera possible de visiter le musée consacré à cet épisode du Jour J. Vous continuerez à vélo à travers la plaine de Caen avant de rentrer dans le marais de la Dives - une zone humide qui abrite une grande diversité d’oiseaux - et d'atteindre les collines du Pays d'Auge. Vous logerez à Cabourg sur la côte, ou à l’intérieur des terres, dans le village de Beuvron-en-Auge, un des "Plus Beaux Villages de France". J5Beuvron-en-Auge – Honfleur Option Courte 45 km; Total montées 580 mètres; Option Longue 67 km; Total montées 805 mètres La magnificence de la Normandie est à “portée de mollets.” Vous trouverez de nombreuses possibilités de dégustation de cidre et de Calvados, les boissons indigènes de la Normandie. La première étape est le village médiéval de Beaumont-en-Auge. En roulant à travers les vergers en direction de la côte, arrêtez-vous à votre guise pour un arrêt café... ou cidre! Vous arriverez ensuite à Trouville-sur-Mer et Deauville, sa voisine plus huppée. Honfleur n’est plus très loin. Ce petit port, d’une beauté époustouflante, avec ses bâtiments colorés et ses rues pavées, est considérée comme le berceau de la peinture impressionniste, ayant attiré des maîtres comme Monet, Boudin et Courbet. Les joyaux architecturaux abondent, dont l'église Sainte-Catherine, la plus haute église en bois de France. J6Honfleur — Brionne 54 km; Total montées 515 mètres Vous ferez vos adieux au front de mer et vous dirigerez vers l’intérieur des terres, à travers le Pays d’Auge et ses chaumières à colombages aux toits de chaume, ses châteaux et ses paisibles villages. Vous atteindrez Pont-Audemer, une version normande de Venise, avec ses canaux mais sans les gondoliers!. Son église Saint-Ouen est célèbre pour ses vitraux. Un peu plus loin encore, vous arriverez à Brionne, où vous passerez la nuit. J7Brionne — Rouen 61 km; Total montées 510 mètres Nous avons prévu un itinéraire assez court pour vous donner suffisamment de temps pour visiter Rouen. Peu après avoir quitté Brionne, vous arriverez dans le village du Bec-Hellouin, un des plus beaux villages de France. L’abbaye du Bec, fondée en 1034, vaut vraiment la peine d'être vue ! Le parcours est un peu accidenté jusqu’à la Seine que vous suivrez jusqu’à La Bouille, un petit village au bord du fleuve qui a inspiré de nombreux peintres. Là, vous traverserez la Seine au moyen d’un bac… quelques coups de pédales et vous serez au coeur de Rouen, la capitale historique de la Normandie. Vous pourrez visiter la vieille place du marché de Rouen, où Jeanne d'Arc où fût brûlée sur le bûcher. La cathédrale Notre-Dame, datant du XIIe siècle, est également un lieu incontournable. Monet l’a peinte 28 fois! J8Départ Le petit déjeuner marque la fin de ce voyage Réservation & Prix Option A 2 nuits en hotels 3*, 4 nuits en hotels 2*, et 1 nuit en chambre d’hôtes de charme. 995 euros par personne en avril et octobre. Le supplément single est 365 euros 1,055 euros par personne en mai, juin et septembre. Le supplément single est 375 euros 1,085 euros par personne en juillet et août. Le supplément single est 385 euros Option A+ 1 nuit en hôtel 4*, 5 nuits en hotels 3* et 1 nuit en chambre d’hôtes de charme. 1,325 euros par personne en avril et octobre. Le supplément single est 480 euros 1,395 euros par personne en mai, juin et septembre. Le supplément single est 490 euros 1,415 euros par personne en juillet et août. Le supplément single est 500 euros Le tarif inclut 7 nuits en hébergements comme listé ci-dessus. Les petits déjeuners 1 dîner hors boissons pour l’Option A / 2 dîners pour l’Option A+ Rencontre avec notre représentant local Le transport des bagages Cartes marquées avec directions et carnet de route GPS avec l’itinéraire pré-chargé en fonction des disponibilités Information touristique Assistance téléphonique Les taxes et les pourboires Le tarif n'inclut pas Dépenses personnelles L’assurance de voyage La location des vélos. Les VTC sont disponibles au prix de 125 euros par vélo. Les VAE vélos électriques sont disponibles au prix de 245 euros par vélo ces prix comprennent les frais de rapatriement des vélos
106 billets dans la catégorie "Rouen en 1940" Le tramway venant de la rive droite par le pont Boeildieu au fond la rue St-Sever et sur la droite la gare d'Orléans... Janvier 41... Les ponts de bateaux n'ont pas résisté à l'effet des glaces et il faut un remorqueur pour traverser le fleuve .... 4 Avril 1943 ... Les Enfants de la Région Rouennaise menacés par les bombardements ont été évacués dans l'Eure. Un groupe d'enfants avant le départ du train qui les emmènera à Vernon. Vers les années 30, BUREAU à ROUEN , rue de Crosne. Clin d'oeil à Rémy.... Nicolas Cliquez sur les images pour voir en détail ! JUIN 1949 - Quartier St-Eloi ... Photo STUDIO EICHE à Pt -Quevilly Mlle Marguerite Deroux photographiée Place de l'Hôtel de Ville André Maurois dans le livre qu'il consacra à Rouen après la Libération a brossé de Marguerite Deroux , Agent de liaison cycliste à la sous les ordres du capitaine Severyns un portrait mémorable Paris-Normandie 1979 . Extrait du livre Rouen Dévasté par André Maurois 1948 Marguerite Deroux, la "jeune fille au casque blanc". Son frère , résistant avait été arrêté par les Allemands et courage inouï, elle partait en estafette sur sa bicyclette, entre les salves, pour renseigner les médecins sur les points de chute et sur les secours avait seize ou dix-sept guerre finie, le " Jeune Fille au Casque Blanc" a repris modestement ses études de Droit 15 Mai 1944 , Place du Vieux-Marché à l'occasion des fêtes de Jeanne d'Arc Accompagné du Maire de Rouen et du Préfet , le Maréchal de France , Chef de l' Etat passe en revue les jeunes des Chantiers de Jeunesse Octobre 1944 , venant de la Place du vieux-Marché vers la rue Rollon Le Général accompagné de Pierre Mendès France "Le prix de la Victoire"... Voici donc l'entrée de la rue St-Filleul sur l' avenue du Mont Riboudet vers 1900... Puis le même endroit dans les années 30... Et aujourd'hui... Elle devait avoir fort à faire dans le quartier St-Eloi... Nicolas Souvenir de la 1 ère Commerce A , Classe année 1943-44 Peut-être rue Beauvoisine ou rue de l'Avalasse ? A l'aide d'un ponton-grue , pont dit de la rue du Bac , puis baptisé en 1947 pont Mathilde... Clin d'oeil à Michel Leveillard... Nicolas Après l'incendie , depuis la Fierté St-Romain... Une de ces pages vient de la "Revue de Rouen" de 1951... Une autre du "Bulletin de l'ACN" de 1949... J'avais fréquenter l'ACN à sa re-ouverture en 1946... Bien amicalement... Michel Après les bombardements d'avril 44 , vers la rue du Petit Salut... Photos de soldats Allemands à Bonsecours en Mars 1941... Seul le pilier rive droite est resté debout , mais il sera détruit par les Allemands en juillet 40 pour la ferraille... L'acier déchiré ! On peut voir sur la partie à droite l'escalier qui permettait l'ascension du pont... Vu depuis le quai du Havre ou les troupes Allemandes se pavanent... Un superbe livre par Guy Pessiot Avec quelques photos Collectionicolas...;o Juin 44 , le porche vers la Cour d'Albane Cliquez sur l'image pour plus de détails... Photographie Achille Plaisant - Janvier 1949 La vie reprend son cours... Cliquez sur l'image pour plus de détails... Nicolas Clin d'oeil au frère du grand-père de Guy Pessiot.... Voir ICI..... Une vue de la rue des Charrettes vers 1948/50... Le 64 bis de la rue des Charrettes on se trouvait dans l'angle le Café des Consuls , le "Fernand Bar " devait être rue des Cordeliers et face au cycliste sur la photo le 64 serait la Boulangerie Daniel Aubé " le frère du grand-père"... J'espère ne pas me tromper ....A confirmer par Guy Pessiot ??? Autre vue des arpents avant les destructions de 1940, et les abords de la porte Guillaume Lion après destruction. pep Vers les années 30... Une autre vue sur les grandes maisons de la rue du Change , une rue peu photographiée ... Disparue aussi en 1940 ! Les années 30... Une vue plongeante sur la rue de l'Epicerie et le marché aux fleurs de la Place de la Calende. Puis sur la droite , la rue du Change... Le quartier sera totalement détruit en 1940 ! Cliquez sur l'image pour agrandir ... La localisation de la rue des arpents est confirmée par ce document , publié dans un ouvrage datant de mars 1941 intitulé Rouen 1940, qui à l'avantage de dater le contexte des destructions pep
Revenons sur l’effroyable bombardement du 19 avril 1944, qui a transformé Sotteville-lès-Rouen en un champ de décombres, avec son chapelet de morts, de blessés, de disparus et de sans-abri… Pendant la seconde guerre mondiale, l’aviation allemande puis alliée ont bombardé à 38 reprises les installations ferroviaires, mais aussi et surtout la ville par manque de précision. Mais, le bombardement de la nuit du 18 au 19 avril 1944 a été le plus terrible. En trois quarts d’heure, l’aviation anglo-américaine a provoqué l’apocalypse sur Sotteville la ville est dévastée et le centre-ville a quasiment disparu. Pour l’occupant, le chemin de fer de Sotteville était stratégique. La gare de triage l’une des plus grande d’Europe à cette époque, ainsi que les ateliers d’entretien et de construction de matériel ferroviaire, était utilisée par les armées allemandes, car le matériel et surtout la main d’œuvre étaient très précieux. Afin de préparer le débarquement de Normandie et retarder les renforts allemands, l’objectif des alliés était donc de détruire cet important nœud ferroviaire. Peu après minuit, les ronflements des 273 bombardiers Lancaster venus d’Angleterre ont commencé à se faire entendre, mais c’est seulement à 0 h 16, que l’alerte a été donnée. La population, surprise dans son sommeil, n’a ni le temps de sortir ni de s’abriter. Dans un premier temps, des fusées éclairantes, des TI’s, étaient lancées pour marquer les zones à bombarder, mais des erreurs de marquage étaient à déplorer surtout au Nord. Le léger vent les a aussi dispersées sur la ville. Les deux objectifs ont ensuite été bombardés l’objectif Sud à partir de 0h20 partie de la gare de triage située entre la gare voyageurs et les ateliers de Quatre Mares, puis l’objectif Nord à partir de 0h40 dépôt des locomotives. 6000 bombes ont été larguées sur Rouen, Bonsecours, Amfreville-la-Mivoie, Saint‑Etienne du Rouvray, Petit Quevilly, Grand Quevilly et Bois‑Guillaume. 3800 bombes sont tombées sur Sotteville-lès-Rouen. La gare de triage n’a pas subi autant qu’elle aurait dû en tant que cible 338 bombes seulement !, et ce sont les quartiers du vieux Sotteville » aux abords de celle-ci qui ont été les plus atteints. Il faut dire que chaque bombe avait de grandes chances de provoquer des dommages collatéraux car – Elle était considérée dans la cible si elle tombait à moins de 500m de part et d’autre de celle-ci – soit une envergure de 1000m – mais la gare de triage ne faisait que 300m de large ! – Le choix obscur a été fait aborder la gare de triage avec un angle de 30°, et non en enfilade. – À une vitesse de 380 km/h, un avion met 3 secondes à parcourir les 500 mètres qui séparent la gare de triage et le centre-ville. Pas évident donc de larguer les bombes au bon moment ! Plan des destructions par bombardements et démolitions lors de la Reconstruction. On constate que ce sont les quartiers proches des voies de chemin de fer qui ont le plus souffert… Cliquez pour agrandir Cette nuit du 18 au 19 avril 1944 était une opération d’envergure qui comprenait aussi les installations ferroviaires de Tergnier, Juvisy et Noisy-le-sec. En avril et mai, ce sont au total 37 triages de France, Belgique et Allemagne de l’ouest qui ont été détruits. Le bilan du bombardement du 19 avril 1944 a été évalué par la commune de Sotteville-lès-Rouen à 561 morts, 14 disparus, 226 blessés graves, 1575 sinistrés et une centaine de blessés légers, mais le nombre de victimes a dû être plus élevé, car deux ans après on retrouverait encore des cadavres dans les décombres… Sotteville a été libérée le 31 août 1944. Le bilan de la guerre est lourd 722 morts sous les bombes, un tiers des habitations détruites et un tiers trop endommagées pour être reconstruites. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez lire le livre très précis de Paul Le Trevier et Daniel Rose Ce qui s’est vraiment passé le 19 avril 1944 » ► VOIR AUSSI Tous les articles sur Sotteville bombardée
Aujourd'hui Exposition scientifique et technique Date du mardi 19 juillet 2022 au mercredi 31 août 2022 Idée sortie n° 246156 Jusqu’au 31 août vivez un été hors du temps à l’Atrium. En compagnie des animateurs scientifiques voyagez de l'infiniment petit à l'infiniment grand et découvrez le monde qui vous entoure. Sorties Exposition artistique Date du mercredi 15 juin 2022 au dimanche 06 novembre 2022 Idée sortie n° 243138 Le département de la Seine-Maritime présentera à l’abbaye de Jumièges, du 15 juin au 6 novembre 2022, le projet A roof for silence, conçu par l’architecte libanaise Hala Wardé. Les 7 prochains jours Sorties Musée autre Date le samedi 20 août 2022 Idée sortie n° 246740 Dans le thème des années folles préparez vos objectifs et vos tenues les plus thématiques pour un temps de navigation à bord du dernier remorqueur de Seine classé monument historique. Un moment dans un décor atypique pour faire vos plus belles photos. Sorties Visite patrimoine Date le dimanche 21 août 2022 Idée sortie n° 240866 Revivez le siège de Château-Gaillard cette forteresse dit imprenable lors d'une visite contée d'1h30 menée en costume d'époque. Au-delà de 7 jours, 11 idées de sorties Sorties Concert autre Date le vendredi 26 août 2022 Idée sortie n° 243361 Notre-Dame de Bondeville vous invite à chanter et danser en revivant la magie des années 80 et 90 dans un spectacle incontournable. Sorties Festival musique Date le samedi 27 août 2022 Idée sortie n° 247288 festival de musique avec concerts gratuits et foire à tout Sorties Brocante Date le samedi 27 août 2022 Idée sortie n° 247289 foire à tout+ restauration sur place + concerts gratuits 300 exposants max. Sorties Visite patrimoine Date le dimanche 28 août 2022 Idée sortie n° 240867 Revivez le siège de Château-Gaillard cette forteresse dit imprenable lors d'une visite contée d'1h30 menée en costume d'époque. Sorties Salon Date le jeudi 08 septembre 2022 Idée sortie n° 231669 Les 24 Heures pour l’Emploi et la Formation – jeudi 8 septembre 2022 – Zénith de la Métropole de Rouen Normandie – 10h/19h – Entrée Gratuite. Sorties Journée du patrimoine Date le samedi 17 septembre 2022 Idée sortie n° 243025 Revivez le siège de Château-Gaillard cette forteresse dit imprenable lors d'une visite contée d'1h30 menée en costume d'époque. Sorties Visite patrimoine Date le samedi 24 septembre 2022 Idée sortie n° 245854 Revivez le siège de Château-Gaillard cette forteresse dit imprenable lors d'une visite contée d'1h30 menée en costume d'époque. Sorties Sports Date le dimanche 09 octobre 2022 Idée sortie n° 237353 Faire de cette journée, une sortie entre copains ou famille. Pour les initiés, soit le marathon ou le duo et pour les autres, participer à l'Ekiden qui est une course qui se court à 6 5km, 10km, 5km, 10km, 5km et pour le dernier. Sorties Visite patrimoine Date le vendredi 04 novembre 2022 Idée sortie n° 245855 Revivez le siège de Château-Gaillard cette forteresse dit imprenable lors d'une visite contée d'1h30 menée en costume d'époque. Sorties Spectacles Date le samedi 05 novembre 2022 Idée sortie n° 232062 Pour le plus grand bonheur de tous, les personnages du phénomène mondial Miraculous Ladybug et Chat Noir prennent vie dans un spectacle musical exceptionnel. Sorties Spectacles Date le dimanche 19 février 2023 Idée sortie n° 216306 Découvrez "Wonderland", la tournée événement pour toute la famille ! Plus de 10 artistes magiciens sur scène parmi les meilleurs au monde mentalisme, grande illusion, quick-change, laser, humour...
3 place du 19 avril 1944 rouen